Etablissement où l'on "stocke" les patients en les bourrant de médicaments.
Dans l'ensemble le personnel est bienveillant hormis deux ou trois qui exacerbent les résidents par des réflexions désobligeantes et autres ricanements.
L'équipe de nuit est bien, à l'écoute et toujours prête à vous aider.
Un chef de service qui fait le coq devant ses étudiant(e)s pendant les entretiens individuels.
Une qualité des repas exécrable; je sais on n'est pas là pour ça non plus.
Plus de sorties pour prendre l'air après 20:00.
Interdiction d'apporter à boire ou à manger dans sa chambre.
Verrouillage de votre armoire à 21:00 puis reddition de votre téléphone portable à 22:00.
Seule une carafe d'eau vous accompagnera; pas cool.
Quand je pense que c'est moi qui ai fait la demande de me faire interner ...
J'espère ne pas y retourner. :(
Un accueil peu chaleureux. La carte du menu n'est pas complète : les serveurs ne nous proposent que du Xanax ou des tartes à la pomme.
Mention spéciale aux lapins qui rendent le lieu plus agréable ! Merveilleux s'ils étaient cuisinés en civet.
Fuyez pauvres fous !
Pour ma part ce centre m’as beaucoup aidée dans mon processus de soins.
Je trouve que la réadaptation par le travail est très interessant.
Les professionnels présent au centre sont vraiment super! Ils sont à l’écoute, et disponible quand on n’as besoin de parler.
Un grand merci à eux!
L'ensemble de la structure est correct. Il y a un bon suivi. Petit bémol les hospitalisations. Nous avons vraiment l'impression d'être en prison mais bon.
Accueil téléphonique, service Provence, nul
Aucune gentillesse, aucun tact et demande aux patients d’appeler la personne qu’on soit joindre au téléphone
À chaque appel, on me dit que la personne va me rappeler, mais il ne lui passe jamais le message
Le personnel est médiocre
Personne manquant de tact trop familier avec ses patients ayant enregistré une conversation téléphonique j ais pu attendre un vocabulaire trop familier.
mauvaise prise en charge des patients, maltraitance psy et physique, j'en ai un souvenir violent. aucun médicaments donnés en 48h alors que ma vie dépendait de ceux-ci (anti dépresseurs, tercian, et autres)
C'est devenu tellement pourri....
- Aucune application dans les soins, on vous bourre le corps de toutes les formes de molécules possibles, et on vous repose des rendez-vous en séries
- Abandons de suivi : avec le désert médical, cette pratique est devenue une mode
- Absence totate de respect du psychiatre envers le patient. En plus on embauche des internes qui ne comprennent pas le français... .