Hôpital psychiatrique à fuir, les patients sont très très restreints à propos de la liberté
L'espace est minuscule, terrain très restreint et activités proposées limitée . Néanmoins il y'a certains professionnels sérieux
Je suis suivie depuis plusieurs années , psychiatre changent tout les 3 mois. Il y avait beaucoup des très compétentes et gentils. Mais la dernière fois je rencontre docteur Chazelles. Horrible . Rejet total , elle me parle 10 minutes pour un rien , complètement incompréhensible... Froid . Alors madame on peut plus rien faire pour vous , on a tout essayé des traitements qui marchent pas , c'est inadmissible.... Elle devrait travailler plutôt avec des vaches.... On se prend pas la tête...... C'est juste horrible.... On se sent complètement abandonné.....a fuir le prochain rdv avec elle je vais annuler , ça fait plus peur que tout elle....
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J'ai été traumatisé par cet endroit où on est traité comme des chiens et encore, même un chien on le traite mieux.
Traitement non adapté. Aucune écoute. Mise en isolement et observé pendant ma douche. Attaché durant l'isolement ils me faisait manger et il fallait se dépêcher.
A ma sortie le traitement n'a pas été revu et la dose était bien trop forte et non adapté à mes problèmes. J'ai failli finir paralysé. Je ne pouvais plus rien faire seule pendant 1 mois, impossible de bouger normalement. Impossible de manger solide je n'avalais que de la soupe et du café. Le traitement faisait que je me bavais dessus. C'est humiliant mais il faut dire les choses pour que ça bouge. Cet établissement est une honte. On est censé y être pour se soigner on en ressort plus malade. On est obligé de s'aider entre patients car l'équipe dite médicale ne fait rien. Faites que cet établissement ferme à jamais ses portes!!!
3 semaines la bas pour dépression.
en négatif : certain(e)s infirmier(e)s à la limite de l’antipathie, traitement inadapté pour moi et infirmières qui font des histoires au moindre doigt de pied posé dans la chambre de quelqu’un d’autre, manque cruel d’activités ce qui pousse les patients déjà dépressifs à se renfermer sur eux mêmes dans leur chambre
en positif : samir, yann, malika et d’autres prendront soin de vous : à l’écoute, sensibles avec les jeunes fragiles comme moi. on nous autorisait parfois un petit chocolat chaud qui pour moi était un vrai plaisir
repas sincèrement très bons, conviviaux car partagé avec le personnel hospitalier.
résumé : même si cet hôpital n’est pas parfait il m’a quand même aidée. merci aux infirmiers qui aiment les jeunes et leur métier.
À fuir, centre délabré, isolement beaucoup trop facile, psychiatres incompétents, aucune activité, personnel en sous effectif. Vous êtes ici pour mourir à petit feu, pas pour être soigné.
Certains patients reçoivent un traitement inhumain, même en prison le respect est plus présent.
Si vous arrivez ici, partez au plus vite ou vous ressortirez avec plus de séquelles qu'à l'arrivée
Bonjour je tiens à remercier tous le personnel du pavillon Camille Claudel car mon papa y a été pour se faire soigner et vraiment quel travail formidable je l'aient admirent beaucoup... Personnel très à l'écoute et agréable malgré tout le travail qu'ils ont... Je veux aussi remercier la personne du standard qui m'a vue pleurer et qui a était très sympa elle se reconnaître.
Si on pouvait y mettre 0 ce serait déjà fait, j’ai fait 5 hospitalisations là bas à chaque fois il y a eu des violences psychologiques, j’ai été harcelé par les autres jeunes lors d’une hospitalisation et rien n’a été mis en place. Les renforts qui viennent quand tu es «agité »
rigolent et font des blagues pendant la prise en charge. Ils rigolent pendant qu’ils attachent des adolescents. J’ai eu également des remarques transphobes de la part du personnel soignant. Plusieurs remarques quand je portais un débardeur/ un short d’une des infirmières qui disait que ça pouvait exciter des ados qui avaient commis des v!ols.
A FUIR !!!
Merci beaucoup aux professionnels de santé pour leur suivi et leur bienveillance.
Continuez votre travail ainsi.
Il suffit d'un peu de courage et de volonté pour s'en sortir.
Une patiente du 18.1