Une seule phrase peut résumer mes deux séjours aux Sophoras. Si je vous écris aujourd'hui c'est que je suis vivant et je le dois à la clinique.Un premier séjour de 6 mois pour dépression profonde à la suite d'un divorce particulièrement destructeur. Une tentative de reconstruction affective prématurée m'a précipité à nouveau dans le gouffre et nécessité un séjour de presque 1 an.
Pour conclure, je remercie la direction, le personnel soignant et tout un chacun. Quelque soit votre situation :
Adictions, Bipolarité...etc
Si vous voulez retrouver la vraie VIE c'est aux Sophoras.
Arrivée dans une unité où on m'a privé de toute liberté : interdiction d'aller dehors, d'avoir mon portable et juste 30min de visite autorisées par jour.. pendant de longues semaines !
De plus, j'étais totalement shootée aux médocs dont beaucoup d'entre eux n'étaient pas nécessaires.. juste administrés abusivement par facilité ! Aucun dialogue avec le patient et personnel inhumain.. A évité à tout prix ! Je suis sortie très mal de cet hp
Personnel très désagréable, limite insultant.
Ils vous prennent de haut. Incompétents.
Dommage on ne peux pas mettre 0 étoile sinon cela aurait été avec plaisir !
Je déconseille fortement cet " hôpital "
J ai passé 6 mois la bas et y a du bon et du mauvais,a chacun de s en faire une idée. Il y a des lacunes ,comme partout.
Merci aux amp,gros bisous a jennifer et a helena,le bjr a pascal et michel.
Très gros bisous a laurène,tu est vraiment charmante,merci a toi.
Salut clem,j espere que tu va bien et que le bec de perroquet ta bien ete donné par les amp et quil a bien repris.
Bon courage a tous les stagiaires et aux professionnels du centre.
Leur devise étant ( pour se sentir respectable, il faut respecter les autres) j'ais appeller chez eux la dame m'a répondu comme un chien , et ne me laissant placé 1 mots , ma raccroché au nez, bravo le respect , j'ais rappeler en disant : vous auriez pû être plus aimable, je ne suis pas votre chien , et elle a ensuite raccroché. Où est mort le respect chez eux ?
Vraiment glauque comme hôpital psychiatrique. Les "patients" sont seulement visibles dans des salles communes, dépourvue de tout mobilier, sans intimité ; même les prisonniers sont mieux lotis... Les patients sont enfermés la nuit et personne pour s'occuper d'eux. Et ne parlons pas des médecins, sans considération pour la famille, qui ne prennent pas le temps d'expliquer les maux, alors que ce sont souvent eux les seuls remèdes une fois l'hospitalisation finie...
Accueil téléphonique, service Provence, nul
Aucune gentillesse, aucun tact et demande aux patients d’appeler la personne qu’on soit joindre au téléphone
À chaque appel, on me dit que la personne va me rappeler, mais il ne lui passe jamais le message
Le personnel est médiocre
Enfermé dans nos chambres sans raison valable, personnels rabaissant, maltraitance psychologique, les infirmiers nous crient dessus, ne sont pas a l'écoute et n'aide pas, préfère jouer au sudoku