- Torture pharmacologique en cas de non-adhesion totale à leurs propos,
- Refuse de communiquer les diagnostiques aux patient·es,
- Peut même mentir sur la maladie réellement diagnostiquée et affichée dans le dossier
- Communique avec les familles sans demander l'autorisation aux patient·es ni même les en informer,
- Discriminations fondées sur le genre, les préférences sexuelles, l'origine ethnique et culturelle, l'apparence physique, vestimentaire et les croyances religieuses,
- Infantilisation constante,
- Enfermement abusif,
- Difficulté à accéder à la médecine générale,
- Privation de sommeil ou au contraire sommeil contraint,
- Rapports mensongers aux autorités pour conserver la main-mise sur leurs patient·es,
- Mentent à leurs patient·es, changent de mensonges plus tard et accusent le·a patient·es de troubles psychotiques quand iel jure n'avoir pas obtenu la même info précédemment
[La source a obtenu cette info via un dictaphone pendant ses entretiens : la thèse de l'hallucination n'est donc pas plausible]
- Dérives sectaires donc, pour faire court.